Plastic Tree - 11 octobre 2008 - Lyon

(Un peu modifié pour pouvoir tout vous raconter^^)

Arrivée à 16h. Une quarantaine de personnes attendaient déjà. Certaines étaient là depuis minuit et d’autres depuis 9h. Les 1ères arrivées ont bien organisé la file et tout c’est très bien passé. Le groupe est arrivé vers les 16h30 et nous ont salués avant de disparaître dans la salle.
L’entrée en salle prévue pour 19h à finalement eu lieu à 20h (retard au niveau du groupe me semble t’il).
La salle était très petite et la scène très basse. Plus grande que celle de DIO mais restait minime malgré tout.

Première partie :
Un groupe de la Tokyo Décadence de St Etienne (http://www.myspace.com/dandyfreaks) est chargé de la 1ère partie.
Bizarrement vêtus, ils ont suent bien chauffer la salle avec notamment une distribution de bonbon, de champagne, de pailles fluo et surtout une très bonne ambiance.
La musique n’était pas si mauvaise à condition d’aimer un minimum l’électro. Les paroles étaient originales et ce qui m’a le plus plue, c’est la sympathie qu’ils dégageaient..
Dommage que certains, trop impatient de voir Plastic Tree n’ai pas trop respecté le groupe.

Plastic Tree :
Ca y est ! Après une longue 1ère partie, le groupe arrive enfin. Il eu un tel mouvement de la foule, que du 4ème rang sur le côté droit, je me suis retrouvée au 2ème rang, juste devant Ryutaro. J’ai vraiment apprécié les tenues bien typiques de ce groupe. Ryutaro commençait son jeu de scène avec des mouvements d’un patin désarticulé. Le groupe enchaînait les chansons telles que nemuru mori, alone again wonderful world, elegy, hat red dip it, kuuchu buranko, replay. Le groupe y mettait une énergie formidable, on sentait vraiment leur plaisir et leur motivation d’être ici. Après qu’ils aient fait une pause, ils sont revenus encore plus en forme. Lors de Ame ni utaeba des pailles fluo avaient été distribuées et la coordination du publique rendait très bien ! Ils ont conclurent le concert par Ghost où le publique étaient en euphorie.
Ryutaro était très proche de son publique. Par de nombreuses reprises, il s’approchait pour que les fans puissent le toucher. Le publique à d’ailleurs été très correcte sur ce point à l’exception d’un moment où il a du retirer assez rapidement sa main.
On peut donc en conclure par un très bon jeu de scène malgré sa taille, une énergie très plaisante, une proximité entre le groupe et les fans très appréciables et une excellente ambiance. Les fans respectaient les chansons (sans cris de groupiasses en chaleurs toutes les 2mn) malgré les filles du 1er rang qui commençaient à s’énerver un peu à cause de bourrinage du publique (que je comprend parfaitement car les fans étaient tout de même d’une incivilité énorme à bourrer comme pas possible à essayer de toucher la main de Ryutaro sans cesse. 3 évacuations quand même).

A la sortie du concert, une trentaine de personnes attendaient la sortie du groupe, qui, très généreux, à accordé des dédicaces à tout le monde.

Pour résumer, une 1ère partie extra et Paru vraiment exceptionnel avec un excellent jeu de scène, une vivacité impressionnante et une proximité avec le publique non négligeable. Mise à part l’incivilité de beaucoup (même au 2ème rang j’en ai bavé entre les coups dans le ventre et sur le tibia du 1er rang et la masse du trentaine de personne s’écrasant sur vous derrière), ça restera un plus que très bon souvenir. En espérant qu’ils repassent très vite près de chez nous.
Et je peux vous affirmer qu’entre le CD et le Live, il y a une différence énorme.

Pour le concert de Paris, il y a eu quelques chansons de l’album Chandelier en plus, le groupe est resté tout aussi formidable mais les fans étaient plus calmes et il n’y a pas eu un seul problème.

Bon, comme c’est mon premier Live Report, il est fort possible qu’il ne soit pas terrible !^^
Si vous trouvez qu’il manque des choses ou qu’il faut que je le change (voir l’efface), n’hésitez pas à m’en faire part !^^

C'était mon premier concert et franchement j'ai adoré. Je pense à la pauvre fille qui était devant moi (en premier rang), elle n'arrivait presque plus à respirer [...]