Le coin des écrivains

Oh chic ! Moi j'ai fait deux poèmes publiés sur mon blog, il tombe bien ce topic !

1er poème :

Je t'ai imaginé,
Mais tu étais pourtant bien réel.
Je ne l'aurais jamais cru,
Mais tu es venu jusqu'à moi.
On s'est aimé jusqu'à se quitter,
Pourtant nous étions "pareils".
Tu étais l'idéal pour moi,
Mais tu m'as fais comprendre,
Que je me suis trompée,
Que ma vie est sûrement avec un autre,
Que ta vie est avec elle.
Mais je pense que tu reviendras un jour,
Et que l'on sera ensemble pour toujours.

2ème poème :

Un poids dans le cœur
Je m'en vais du bonheur
Je n'aime plus ce qui m'entoure
Je n'aime plus l'amour
Je n'aime plus la vie
Un jour tu m'as dis,
Que la vie était belle
Que j'avais besoin d'elle
Mais j'ai fini par ne plus y croire
Et m'éteindre un soir

J'aime bien le deuxième poème car le rythme des phrases crée une certaine atmosphère que j'apprécie ^^

Merci ^^ Quand je fais lire ces poèmes, la personne me dit toujours que c'est le deuxième qu'elle préfère !

Nouveaux poèmes fait il y a quelques semaines.



et

Bonjour/Bonsoir à tous,

amis et amies écrivain(e)s ! Je vais aimer ce post ^^

Bref, après une petite entrée j'ai adoré vos poèmes, surtout que vous arrivez à faire de beaux rimes Nan franchement vos textes, parfois sombre et parfois moins sont très intéressant et très beaux, bravo à tous.

J'aimerais également partagé ce que j'écris, bien que je ne pourrais tout poster. Effectivement, j'ai écris des débuts d'histoires jamais continué, une quarantaine de petit texte (je vais vous en faire partager certain), une histoire de Science Fiction (130 pages format petit cahier, je ne pourrais donc pas vous montrer quelque extraits avant de l'avoir recopié sur le pc :s), une histoire que j'ai commencé il y a peu (format roman) et un projet sur lequel je suis depuis deux mois environs, c'est à dire l'écriture d'un roman dans un monde fantastiques inventés, avec des décors imaginaires, des races uniques, une histoire (je l'espère) qui sera fabuleuse et des batailles bien entendu.

Bref, pour commencer j'aimerais vous proposer quelques textes, qui sont à "consonance" poétique par leur thème mais où il n'y a pas de rîmes. (je sais ça a l'air un peu ridicule mais je préfère accentué sur l'image que je veux donner plutôt que sous la forme sous laquelle j'écris ; et j'ai du mal à trouver des rîmes)


Voilà peut-être que j'en posterais d'autres plus tard si ça vous plait, et sinon j'ai hâte de découvrir d'autres de vos œuvres :p

J'aime beaucoup tes poèmes ^^
Je devrais m'essayer au vers libre à l'occasion, enfin en tout cas félicitation =p

Bon, j'en profite pour partager avec vous quelques babioles, n'hésitez pas à me donner votre avis (seul le premier est "relativement" récent).

Ouaa j'adore. C'est super bien écris je trouve, avec une intensité dans les mots à couper le souffle. Franchement bravo, peut-être que dans ton dernier texte il y a un peu trop d'énumération, mais après ce n'est que mon avis.

C'est sombre, mais ce qui en fait la beauté :p
Tua s déjà essayé d'écrire de textes plus du style romantique, ou alors amoureux ? Car je pense qu'avec les mots que tu utilise et leur intensité, ça peut rendre super bien.

Merci beaucoup ^^

Oui, je penses que tu as raison pour le dernier texte, je ne m'en étais jamais vraiment rendu compte =/

Pour le romantisme, pourquoi pas, mais pour dire vrai je ne sais pas si j'en serais capable. J'écris vraiment de manière spontané, sans recherche de style particulière, la seule chose que j'ai en tête est le thème et l'idée principale, en résulte ce qui vient.
Après, il y a romantisme et romantisme j'imagine, mais ça pourrait être un bon exercice, j'en prend note; merci =)

Alors un poème j'ai a vous proposer,
De critiquer vous pouvez
(merde je parle en rimes encore :/)

Coeur mutilé

Elle a retrouvé son aimer,
Le coeur mutilé,
Incapable de chérir,
Celle qui lui donnais le plaisir de vivre.

Une dernière danse,
Tel est ce qu'elle pense.
Quand a lui de perdre la vie
Il s'en y est remis.

De l'en dissuader,
Elle a essayé
Et de saigner,
Son coeur a continuer.

Dans les ténèbres
Ils ont sombré
Et un destin funèbre,
Ils ont trouvé.

@ Doku : J'adore tes textes !!! Sont magnifiques et les rimes bien trouvés. Par contre je dirais que utilise "un peu trop" souvent les même mots ou la même significations dans différents textes. Mais bon ce n'est que mon avis ^^

@ langiku : Très bien penser et attirant et super. Mais si tu veux bien accepter ma critique, enfin plutôt un aide concernant les formulations de tes phrases, car elles sont des fois pas "correctes". Enfin c'est peut-être fait exprès mais je te propose ceci :

Citation :

Elle a retrouvé son aimer,

=> "Elle a retrouvé son être aimé", plus précis et même rime à la fin.

Citation :

Il s'en y est remis.

=> Il s'en est remis. Ton y ne sert à rien ^^ (faute de frappe peut-être ? )

Voilà c'est tout, en tout cas un conseil : continu d'écrire on fait tous des fautes (des fois banales des fois non) et moi le premier ! Le mieux c'est d'écrire et de lire pour s'améliorer

J'aime vraiment beaucoup les textes de Doku ^^ et de Langiku aussi.

J'adore le 1er de Doku, c'est super profond je trouve et sanglant
Mais franchement bravo aux deux, respect et continuer à écrire ^^

Kira a écrit:

@ Doku : J'adore tes textes !!! Sont magnifiques et les rimes bien trouvés. Par contre je dirais que utilise "un peu trop" souvent les même mots ou la même significations dans différents textes. Mais bon ce n'est que mon avis ^^

@ langiku : Très bien penser et attirant et super. Mais si tu veux bien accepter ma critique, enfin plutôt un aide concernant les formulations de tes phrases, car elles sont des fois pas "correctes". Enfin c'est peut-être fait exprès mais je te propose ceci :

Citation :

Elle a retrouvé son aimer,

=> "Elle a retrouvé son être aimé", plus précis et même rime à la fin.

Citation :

Il s'en y est remis.

=> Il s'en est remis. Ton y ne sert à rien ^^ (faute de frappe peut-être ? )

Voilà c'est tout, en tout cas un conseil : continu d'écrire on fait tous des fautes (des fois banales des fois non) et moi le premier ! Le mieux c'est d'écrire et de lire pour s'améliorer

alors la je t'arrete, bonne critique je ne prends rien de mal je suis ouvert mais, moi, depuis tout petit et meme encore maintenant j'ai toujours plus entendu "aimé" que "son être aimé" je suis sur que c'est francais mais bon, on a pas dit a Shakespear comment il devait formuler son fameux "être ou ne pas être... tel est la question" enfin merci et pour le "Il s'en est remis" la ce que tu me propose me fais plus pensé a une rémission d'une maladie que d'un faite du destin qui peut être tragique... cependant merci quand meme

Ha d'accord alors permet moi de m'excuser je ne savais pas ^^ J'aurais appris quelque chose du coup :p

Et pas de problème, de toute manière toute "critique" de ma part ne seront jamais méchante, bien au contraire. L'écriture est un domaine si vaste que de dégniller un texte est franchement idiot car pas crédible. C'est sa la puissance de cet art, que quasiment tout est possible.

Alors aider c'est bien, conseiller encore mieux, et respecter c'est parfait

Hahahahaha ben de rien ^^

Je vous met deux textes en plus, un texte personnel (celui parlant d'amour) et un autre plus général mais écris d'un point de vue interne.

Halala esprit torturé moi .... naaaaaaaaaaaaaaaaaan juste mutilé mais bon sans plus.... quand a toi kira c'est regard et pas regards ;D

Me revoici !! (et oui encore pour votre plus grand malheur hahaha :p) Bref je tenais à poster deux de mes textes, cette fois-ci plus du tout poétique. Mais que j'adore et que j'ai envie de faire partager =)

Voili voilou !

"Le Bonheur du Silence"

Le soleil brillait haut dans le ciel, d’une couleur orangé qui illuminait chacun de nous. J’étais là, assis, avec elle dans mes bras, allongé tendrement. Ma main caressait délicatement ses longs cheveux châtains, L’herbe me chatouillait la peau et l’air frais du printemps emplissait mes poumons d’une pureté sans égal. Nous étions là, heureux, au bord d’une falaise somptueuse qui s’élançait dans le vide pour tomber proche d’un ruisseau. Le temps semblait s’être arrêter, pour nous laisser ce moment de vie unique, nous laisser ce moment parfait ou rien ne peut arriver, ou tout est beau, tout est rose et magnifique. Les nuages d’un blanc léger nous souriaient même, de leur douce chaire.

J’entendis alors en moi résonner une douce mélodie, joué au piano par mon tendre amour. Cet air est si doux, si sublime qu’il me transporte au-delà même des rêves, au-delà de l’infini. Chaque note représente quelque chose et rien au monde ne peut mieux me faire comprendre les sentiments de quelqu’un. Cette musique si douce à mes oreilles fredonne en concordance avec la légère brise de vent. Et le temps s’écoule toujours aussi lentement, aucun mot ne sort de nos bouches car nous sommes bien, nous sommes sur notre paradis, notre propre monde. Elle me tient la main et la serre légèrement, tel un bébé envers sa mère protectrice. J’aime cette sensation qui emplit mon cœur, qui emplit nos âmes et s’entrelacent dans le bonheur absolue

.La musique s’arrête sur des notes délicates et s’évanouit comme les rayons du soleil qui diminuent petit à petit. La nuit arrive pour nous faire dormir et nous emporter loin de ce monde. Des oiseaux passent au loin, à l’horizon dans un ciel d’azur parfait, d’un simple regard nous pouvons comprendre leur beauté, leur charme. J’étends un peu plus mes jambes, serrant tendrement ma dulcinée et allongeant ma tête dans l’herbe fraiche, je ferme les yeux. Parfois rien n’est plus beau et plus doux qu’un silence parfait. Rien ne se passe, rien ne se produit, rien ne peut arriver. Elle se relève doucement, sans me lâché la main et s’assied pour regarder la maigre plage en contrebas, puis le soleil couchant avec une aura rose et orangé. Un sourire plus sublime que le monde entier s’affiche alors sur son doux visage puis elle se lève alors que je la lâche de mon étreinte amoureuse. Sa jupe flotte dans l’air et elle descend un petit chemin de terre pour aller sur la plage, au bord de cette eau calme comme jamais.

Je suis allongé et je ne pense à plus rien, à part au bonheur que je vis, ici, avec elle, avec cette nature autour de moi, si profonde et si puissante. C’est comme si plus rien d’autre n’existait, que nous étions les deux seuls survivants d’un monde en péril. Même les horloges semblait s’être stoppé dans un déluge carnassier, rien que pour nous, rien que pour ce long moment d’un bonheur infini. Je décidai alors de me relevé délicatement pour aller au bord du pic rocheux et observer moi aussi la merveille de la nature. Les derniers rayons de soleil disparaissaient et le néant commençait à nous envelopper dans sa brume fraiche.


Je sens ma vue se brouiller, mes paupières sont lourdes et ma nuque flanche. Je sens tout à coup ma main tomber sur une lourde pierre, d’un blanc passé de plusieurs siècles. La chaleur me prend et me brule tout mon être intérieur. Un mal de tête apparaît et m’écrase petit à petit mon cerveau, cette sensation si horrible… Comment un être vivant peut la ressentir, mes genoux s’effondrent par terre lourdement et mon corps titube quelques instants avant de s’avachir sur le sol si dur. Mon regard, bien que vide se pose alors sur ce minuscule objet, si petit, et pourtant si Grand. Il me regarde à chaque instant et son dard empoisonné est telle une épée de Damoclès. Chacun de mes pas sont surveillés et mon cœur bat de mille tourments sous cette douleur effroyable. C’est désormais un froid qui me gèlent les muscles, me glacent le sens et me figent les nerfs. Je ne sens que la mort qui s’approche de moi, petit à petit, me croquant depuis si longtemps avant de pouvoir m’avaler. Elle est là, me regarde, fixe le blanc de mes yeux et sourit dès que je me rapproche d’elle.

Je ne tiendrais plus longtemps, mon corps est si faible, si malade, pourquoi moi ?! Mes doigts griffent la terre dure pour s’accrocher à un dernier moment de vie, mes ongles se brisent sous la douleur, mes oreilles n’entendent désormais plus que mon cri intérieur, hurlant de toute mes forces, celle qui me font tenir. Je crois que c’est la fin, mes cheveux même m'insupportent, la vie n’est que dérisoire, tout sentiment c’est évaporer, même la peur à fuit devant son regard rougeoyant et brûlant. Son regard et ce petit objet, si ridicule et pourtant, la mort est en lui. Mes os semblent se briser par d’innombrables craquelures, mon estomac se resserre et se compresse et mes autres organes vont bientôt périr. Toute vie est partie, toute chaleur et lucidité à disparue depuis bien longtemps, mais je ne pensais pas pouvoir subir pire, je me trompais apparemment. Mon regard s’est refermé et je ne sens plus rien à l’extérieur.

Je ressens le sang couler en moi, ce froid partir à toute allure, mes oreilles réécouter le monde et mon regard s’ouvre brusquement. Je vois son visage là, devant moi, effrayé par mon corps encore inerte par terre. Je dois être blanc comme la neige, mais il me secoue violemment. Tout se régénère comme si je venais de naître et que je ressentais petit à petit ce qui me compose. M’aidant à me relever, à le regarder, pourtant je ne peux répondre, il le sait. Je ne suis qu’un objet vide de sentiment, vide de désir, vide de vie, mais je dois le faire. Il me relève et sans aucun mot je me laisse faire. Je sais que cette douleur reviendra, car elle semble si indestructible. Je range alors cet objet, le Mal lui-même. Son regard hante les seules pensées que j’ai et j’avance sur mon chemin, sur ce qu’on nomme le destin, car je suis l’espoir de toute vie qui a encore un sens.

[Texte inspiré du Seigneur des Anneaux mais n'est pas une copie, juste qui "aurait pu" être une scène du livre]

Salut, c'est le premier poème que je poste sur ce topic, si ça passe, j'en posterai d'autres. Ce poème fait partie d'un projet artistique appelé "âme", qui serai un recueil futur de la trame scénaristique de mon projet musical, Dark Legend.

Croissance

Comme l’ombre qui grandit et meurt
A jamais,s’accroit mon déshonneur
Comme l’esprit qui va, fuyant
Son sort du triste testament

Tel une bougie dans la ronde
Les esprits volent et retombent
Courant rattraper le temps
Portés comme la plume aux vents

Mes doigts resserrent leur emprise
Sur ton coeur ou ils ont main mise
L’inébranlable croissance

Sur ta peau blanche et lisse
Mon âme dort et s'enlise
Dans sa lente évanescence

Voilà, ma premiere nouvelle a proprement parlé...
C'est un ami qui un jour, a fait ce reve. ( La fille qu'il a vu, etait d'ailleur moi ). J'ai un peu modifié la fin, meme si je trouve le dénouement vraiment trop simple. Je pense le modifier plus tard, grace a vos conseils.
Car, je débute, et j'aimerais des conseils pour améliorer cette nouvelle, et mes prochaines. C'est vrai qu' a coté de vous, je ne suis pas très douée. J'ai juste essayée de coller au maximum avec l'angoisse qu'il a ressentit ...
Voilà, bonne lecture


La bile montait et me brulait la gorge .La voir se debattre ainsi et ce monstre l'écraser de tout son poids, le voir en elle me répugnait. Ses hurlements me déchiraient les tympans. Je voyais l'horreur dans ses yeux, son dégout de l'autre et d'elle meme d'avoir permit une telle chose. Elle se soumettait, comprenant qu'elle ne pourrait rien, elle etait si lasse de se battre qu'il m'était impossible de regarder plus longtemps cet acte immonde. Après l'horreur, la haine vint, je voulais la sauver de cet homme. Mais il était trop tard, cela faisait des heures que c'était fini. Des heures qu'elle était rentrée chez elle, en larme, a moitié nue, ne cessant de revoir ces scènes, ces tortures qu'il lui avait infligé. Je marchais en titubant dans le couloir tant les images m'avait troublé . J'avais besoin de sortir, de respirer l'air frais. . Cette vidéo, ses fragments de vie passaient en boucle dans ma tete. Il fallait que je la voie, mais mes pieds ne supportèrent pas le degout, je m'écroula. J'ouvris les yeux en un sursaut. Les gouttes de sueur perlaient sur mon front, un horrible mal de crâne m'assaillit. Quelques secondes passèrent le temps que je reprenne mes esprits. Puis tout me revint en memoire, la vidéo, le viol, ces pleurs, ces cris et ce rire affreux de l'homme victorieux. Prit de panique, je chercha mon telephone. Sa voix, je devais l'entendre... Mes mains moites laissèrent plusieurs fois echapper le portable . J'ai du faire appel a beaucoup de concentration pour rechercher son numéro et conduire l'appareil a mon orreille. La panique m'habitait, je tremblais. Les bip sonores me parurent durer une éternité avant qu'une petite voix endormie teintée d'ironie me répondit:<< J'espere que tu as une bonne raison pour me reveiller ! >>. Je lacha un long soupir de satisfaction avant que mon regard s'arrete sur mon reveille: 3h46. Je ne trouvais pas les mots pour lui raconter ce que j'avais vu et ressentit. Elle etait patiente, ne ne disait rien, se contentait d'attendre. Elle ricana au début et comprit qu'au final, cela m'avait vraiment troublé, que je ne voulais plus en entendre parler. Elle me demanda pourquoi ? Qu'est-ce qui avait fait que j' avais revé d'elle dans cette situation. Toutes ces questions auquel je ne pouvais répondre, agacé de mon incompétence a lui donner plus d'information. Je lui souhaita une bonne fin de nuit, et m'excusa encore avant de raccrocher. Le sommeil mit du temps a revenir, l'angoisse de revivre la meme chose, de revoir ces images, son corps … Peureux, je fini par prendre un somnifère, un sommeil sans reve m'attendait, mais j'étais prêt a tout pour ne jamais devoir subir a nouveau cette angoisse. Trop intense, trop terrible, trop forte, trop trop .

:X Je me demande qui est assez chtarbé pour faire des reves comme ça :X

Pas mal ton texte Sirius